Patrimoine vivant Wallonie-Bruxelles


L'art de la bande dessinée en Brabant WallonL'art de la bande dessinée en Brabant Wallon

  • « Ma plus belle émotion ? (...) la rencontre personnelle avec des gens qui souffrent et vous disent que : grâce à vos livres j'arrive à m'échapper de mon mal »
  • « À partir du moment où les aînés sont une source d'accueil pour les plus jeunes (...) les jeunes même s'ils n'en vivent pas, vont pouvoir faire vivre leur passion »

C'est quoi ?

« L’aventure commence lorsque les mots partent à l’assaut des images. L’aventure commence lorsque les images dévorent les mots »
Jean Dufaux, novembre 2006 (1)

« Je suis ta chose, ta choupinette, ton ardente, je te veux, je vais te manger,
te consommer, te déguster, te dévorer, te bouffer tout cru, t’avaler, te gober,
t’ingurgiter, … »… « Au secours ! »
Un Amour de province ... le Brabant wallon
de MALIK –TAI WILLIAM 2005 (2)

En un demi-siècle, la bande dessinée s’est fait une place de choix dans les bibliothèques des petits et des grands. Qui n’a pas aujourd’hui un espace réservé à ce type de lecture ?

Née dans la presse à grande diffusion, elle est, en Europe, tout d’abord réservée aux enfants, puis fait irruption dans le monde des adultes dans les années 1960 en abordant la politique, l’érotisme, et en se permettant un humour plus caustique.

Bien que les dessins satiriques existent depuis bien longtemps dans la presse, l’art de raconter une histoire en image avec bulles et onomatopées, naît en Belgique dans la presse catholique et se propulse rapidement dans le monde entier.

Le Neuvième Art s’adresse à toutes les générations. Aujourd’hui, très présent dans les médias (dessins animés, films cinématographiques ou jeux vidéo), ainsi que sur de nombreux produits dérivés, il est impossible de passer à côté des héros nés dans un premier temps sur le papier des périodiques. La bande dessinée continue de tracer sa route tout en se renouvelant et en se nourrissant de l’imaginaire des jeunes créateurs d’ici et d’ailleurs.

Revue Petits Belges du 27 octobre 1940 © Centre Belge de la Bande dessinée
Revue Petits Belges du 27 octobre 1940 © Centre Belge de la Bande dessinée

Différents styles de bandes dessinées 

La BD belge

Destinée dans un premier temps aux plus jeunes, la bande dessinée belge et française commence, dès les années 1960, à s’adresser à un public adulte.

On découvre depuis quelques années le manfra ou franga (termes apparus en 2005) qui désigne les bandes dessinées créées par des auteurs francophones à la façon des mangas.

Les comics 

Ce sont les bandes dessinées aux États-Unis. On distingue deux catégories de comics : les comic strips qui sont des vignettes dans les quotidiens, souvent très courtes et humoristiques et les comic books qui désignent les périodiques de bandes dessinées nés en 1937.

Les mangas 

Bande dessinée japonaise dont le style a donné une expression graphique à part entière. Le manga est à l’origine publié en noir et blanc dans des magazines hebdomadaires.

Le roman graphique

Le roman graphique se situe entre le roman et la bande dessinée. Le terme est une traduction de l’anglais graphic novel qui désigne la BD destinée aux adultes par opposition aux comics qui sont plutôt réservés aux enfants. Le roman graphique est caractérisé par une fusion parfaite de la forme littéraire narrative et de la symbolique du dessin.

On trouve par exemple Corto Maltese de Hugo Pratt ou encore Persepolis de Marjane Satrapi.

Quelques bédéistes en Brabant wallon

Guy Bollen

Né en 1938, il termine ses études en 1959, couronné du prix Watteau, du Prix Marie et du Prix de la Médaille d’argent du Gouvernement ; deux ans plus tard il entre au studio de dessin des éditions Dupuis, où il réalise affiches, illustrations, publicités ou jeux.

Il crée Les Jeux de Patate et Tatou qui animent les pages de l’hebdomadaire Spirou, puis crée le jeu Trioker et la rubrique Le Coin des Cerveaux. Il est surnommé le Thierry Le Luron de la BD belge par Franquin, Peyo et Roba.

Il travaille avec Jean Roba dans des albums narratifs avec des jeux pour la revue Belle des Champs, réalise des albums à colorier pour Peyo et collabore avec Berck.

Michel de Bom, dit BOM

Encore étudiant, il commence à écrire des scénarios pour ses copains de l’Académie des Beaux Arts de Bruxelles, Watch (Pierre Wattiez) et Brosse (André Bosmans), alors qu’ils tentent de se présenter aux « cartes blanches » de l’hebdomadaire Spirou.

BOM écrit de nombreux textes pour Watch, Dédé, Malik, Blesteau, Brouyère, Geerts ou dans la série de rédactionnels Les grandes énigmes de la troisième planète. Il partage avec Charles Degotte quelques épisodes du Flagada. À partir de 1980, il se partage entre les hebdomadaires Tintin et Spirou.

Il collabore avec Walli (André van der Elst) pour qui il écrit les gags de Modeste et Pompon puis la série Gil Sinclair, travaille sur trois albums de Chlorophylle, rencontre Sidney (Paul Ramboux) avec qui il crée la série Julie, Claire, Cécile, et écrit les aventures de Broussaille (avec Franck Pé) ou encore Sylvaind de Rochefort (pour Thierry Cayman).

Raoul Cauvin

Né en 1938, il étudie la lithographie. Il entre aux éditions Dupuis chargé du lettrage du journal Spirou et, rapidement se met à écrire ses premières histoires. Il lance les séries Les Tuniques Bleues en 1968 (dessins Louis Salvérius puis Willy Lambil) et Caline et Calebasse en 1969, illustrée par Luc Mazel avec lequel il fera équipe dans les aventures de Boulouloum et Guiliguili. Il écrit trois épisodes de Spirou et Fantasio (dessins de Nic Broca), se lance dans les séries Les Femmes en Blancs (avec Bercovici), Pierre Tombal (avec Hardy), Cédric (avec Laudec), Les Voraces (avec Glem), Cupidon (avec Malik) ou encore Les Psys (avec Bédu).

Jean Dufaux

Attiré par l’écriture, il passe du journalisme spécialisé dans le cinéma, à l’écriture de pièces de théâtre pour enfant ou encore aux nouvelles, pour arriver à l’écriture de scénarios de bandes dessinées grâce à une rencontre avec Bernard Coppens qui l’amène à être publié dans Le Journal de Tintin en 1984. Il enchaîne différents scénarios d’histoires complètes, puis se lance ses propres récits. Il publie trois volumes de Beatifica Blues (dessins de Griffo), collabore avec Renaud Denauw pour créer le personnage de Jessica Blandy qui a dépassé aujourd’hui la vingtaine de volumes. Il lance Giacomo C. avec Griffo, met en scène ses tendances fantastiques avec Les enfants de la salamandre réalisés avec Renaud, et crée une série consacrée aux écrivains : Sade (dessin : Griffo), Pasolini (dessin : Rotundo), Balzac (dessin : Savey), Hemingway et Hammett (dessin : Malès), puis écrit la série Djinn ou de Bois des Vierges.

Il est l’invité d’honneur aux Rencontres internationales de la Bande dessinée, organisées à Wavre, en 2008, par la Maison du Tourisme des Ardennes brabançonnes.

Jean Dufaux © Ooh ! Collective
Jean Dufaux © Ooh ! Collective

Cédric Hervan

Dessinateur et coloriste né en 1981, passionné de bandes dessinées dès l’enfance, il suit en parallèle de sa scolarité les ateliers BD de l’espace Bernier à Waterloo qui lui permettent de rencontrer Jacques Martin en 1999, lequel lui confie la réalisation de Persépolis, un album de la collection “Les voyages d’Alix”. Il illustre la saga Le Dernier des Schoenfeld, participe à la BD collective intitulée Vivre ? et dessine la série en cours en 2012 intitulée Les Combattants du rail.

Cédric Hervan © Ooh ! Collective
Cédric Hervan © Ooh ! Collective

Georges Rémi, dit HERGÉ (1907-1983)

Hergé, pseudonyme composé de ses initiales R. G., publie ses premiers dessins dans le Boy-Scout belge et crée en 1926 la première ébauche de Tintin. Il publie la première aventure de Tintin et Milou sous forme de feuilleton dans le supplément du journal le XXe Siècle en 1929 : Tintin au pays des Soviets

Il développe au fil des albums la richesse narrative et graphique, et devient le maître de la ligne claire. Les aventures de Tintin qui témoignent bien souvent des bouleversements du XXe siècle sont vendues dans le monde entier et traduites dans de nombreuses langues et dialectes.

Hergé développe également d’autres bandes dessinées comme Jo, Zette et Jocko, Popol et Virginie et Quick et Flupke (qu'il dessine et publie dès 1930). (1)

Le musée Hergé a ouvert ses portes en 2009 à Louvain-la-Neuve.

  1. D’après l’article disponible sur le site du Larousse en ligne : http://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Herg%C3%A9/123707 < consulté le (24/01/2013) >

Ça se passe où ?

Chez soi, mais aussi dans toute la Belgique.

Célia Ducaju © Ooh ! Collective
Célia Ducaju © Ooh ! Collective

C'est quand ?

Du lever du jour au clair de lune...

Mais aussi lors de nombreuses expositions d’évènement précis:

  • Les Rencontres internationales de la BD en Brabant wallon 

  • Press Cartoon Belgium qui présente les meilleurs dessins parus dans la presse belge 

Ces rencontres ont lieu tous les deux ans.

Pour plus de renseignements, contacter la Maison du Tourisme des Ardennes brabançonnes sur le site : http://www.mtab.be/fr/ ou au 0032 (0)10.23.03.23

  • Le Noct’en Bulles – Festival de Bande dessinée et Prix Diagonale.

Pour plus de renseignements, contacter Wallonie-Bruxelles Tourisme : http://www.belgique-tourisme.be/

Le fil conducteur de ce circuit touristique est la BD. De Tintin à Cubitus, en passant par le meilleur de l'histoire et de la culture brabançonnes, de nombreuses surprises attendent le visiteur. Une fresque comme amuse-bouche, des maisons connues et reconnues, des musées tendance ou très tendance, une abbaye, une ferme et même une pierre tombale...

Le circuit est à télécharger sur GPS.

Mais aussi lors des nombreuses expositions organisées dans la région, lors des fêtes de la BD ou encore à l’occasion des foires et des marchés de la BD.

Se renseigner auprès de Wallonie-Bruxelles Tourisme et de la Maison du Tourisme des Ardennes brabançonnes.

Un brin d’évasion

L’art de la Bande dessinée en République démocratique du Congo

Barly Baruti

Né au Congo en 1959 se passionne pour la bande dessinée dès son enfance. À 20 ans, il anime des ateliers graphiques dans les centres culturels français de Kisangani et Kinshasa, travaille à la création de motifs textiles, puis sort son premier album de bande dessinée en 1982 intitulé Le Temps d’agir et financé par l’agence belge de la Coopération au Développement.

Il rencontre Michel Pierre qui lui propose de suivre un stage à Angoulême.

Quatre ans plus tard, il fréquente les studios Hergé et conçoit La Voiture c’est l’aventure (1987) et Papa Wemba (1988) chez Afrique éditions.

Il s’installe en Belgique où il réalise de nombreuses illustrations pour Le Soir, Autrement, Belgian Economic ou Tam tam.

Il s’associe avec Frank Giroud en 1995 et crée la série africaine de trois volumes Eva K. qui lui apportent la notoriété dans le pays de la bande dessinée.

Cette collaboration perdure chez Glénat, où la série policière Mandrill (composée de 7 volumes en 2012) voit le jour dans la collection Bulle Noire.

À côté de ses créations, il s’implique dans le paysage associatif de République démocratique du Congo en formant de jeunes talents. Il devient directeur de la nouvelle revue Afro-BD et est nommé président du premier Salon Africain de la Bande Dessinée et de la Lecture à Kinshasa en 1991.

Il est également nommé tuteur de l’ONG « Jeunes Sans Toi (t) » où il initie certains d’entre eux aux techniques des arts plastiques.

Un brin d'histoire

Histoire de la bande dessinée

Devenu aujourd’hui une institution culturelle, le Neuvième Art est né en Belgique dans la presse catholique.

Dès 1920, un périodique catholique avait abordé le langage dessiné rapprochant des textes et des histoires illustrées. Mais c’est en janvier 1929 que Hergé, sans s’en rendre compte, lanças l’essor de la BD européenne en développant les normes de qualité toujours en place aujourd’hui, en racontant, dans un petit journal catholique ultraconservateur, Le XXe Siècle, qui désirait dénoncer les maux liés au communisme et les bienfaits de la colonisation, les aventures du reporter Tintin dans Tintin au Pays des Soviets et dans Tintin au Congo.

Les années 30 virent apparaître les premiers pionniers : Jan Waterschoot ou Jijé avec Blondin et Cirage. La Flandre est loin d’être en reste et la bande dessinée (Bob et Bobette de Vanderstenne ou Jommeke de Jef Nijs par exemple) se développe de façon extraordinaire dans la presse quotidienne où le lecteur va pouvoir suivre ses héros durant des dizaines d’années. Elle atteint une popularité phénoménale. D’autres auteurs flamands, tels Morris (Luky Luke), Vance (XIII), ou encore Jean-Pol (Sammy), atteindront directement une notoriété internationale.

Mais l’histoire de la BD européenne se confond avec l’histoire des magasines spécialisés nés en Wallonie et à Bruxelles, tels que le Journal de Spirou (Dupuis), Tintin (Lombard) ou À Suivre (Casterman).

En créant le Journal de Spirou, Dupuis, qui essayait de toucher également les marchés français et hollandais, alla chercher un dessinateur français (Rob-Vel) pour créer la figure de Spirou. Le journal devint rapidement un vivier de talents qui vit passer jusqu’à aujourd’hui les plus célèbres des personnages : Luky Luke, Johan et Pirlouit, les Stroumpfs, la patrouille des Castors, Gil Jourdan, Boule et Bill, Gaston Lagaffe, les Tuniques Bleues, Cédric ou encore Largo Winch ...

Né en 1946, le journal de Tintin, dont Hergé assurait la direction artistique donna le jour à d’autres héros de taille tels que Blake et Mortimer, Ric Hochet, Alix, Michel Vaillant ou encore Modeste et Pompon. Le journal de Tintin arriva en France avec un jeune coéditeur Georges Dargaud qui, grâce à son succès, eut les moyens de lancer l’hebdomadaire Pilote imaginé par Goscinny et Uderzo.

Avec Spirou et Tintin, les ventes de BD se propagent dans le monde entier et, petit à petit, les héros se voient portés à l’écran ici ou à l’autre bout du monde, en dessins animés, en jeux vidéo ou en adaptations cinématographiques.

AUQUIER, Jean. Les bulles, spécialité maison. Geo Voyage. Novembre - décembre 2010, n°34, p.50

Un brin de poésie

Elle comprend qu’elle rêve… © Ooh ! Collective
Elle comprend qu’elle rêve… © Ooh ! Collective

Petit abécédaire

L’APPENDICE : l’appendice sert à identifier le locuteur. Il prend la forme de flèche pour les paroles et de bulles pour les pensées.

LA BULLE : appelée également phylactère, elle contient dans une vignette les paroles ou pensées émises par un personnage.

LE CARTOUCHE : encadré rectangulaire qui contient les commentaires du narrateur.

LE COLORISTE : personne qui assure la mise en couleur des planches.

LE COMICS : bande dessinée aux États-Unis. Les comic strips sont des vignettes dans les quotidiens et les  comic books désignent les périodiques de bandes dessinées nés en 1937.

L’ÉDINAUTE : contraction de « éditeur et internaute ». C’est le fonctionnement de Sandawe.com dont le concept est de proposer aux internautes des projets d’auteurs de bandes dessinées mis en ligne sous forme de planche ou de résumé ... Les internautes investissent financièrement dans les projets permettant ainsi la parution des albums tout en devenant « édinautes ».

L’ELLIPSE : ce qui n’est pas montré entre deux cases et qui permet de sauter des événements sans importance ou, à l’inverse, de ne pas montrer des événements importants afin d’accentuer le suspens.

L’IDÉOGRAMME : symbole graphique ou petit dessin qui représente une pensée.

LA LIGNE CLAIRE : dessin dépouillé à l’extrême, traits de contour et couleurs en aplat, qui sont la marque de fabrique d’Hergé.

LE MANGA : bandes dessinées japonaises. Le mot manga signifie image dérisoire.

L’ONOMATOPÉE : mot qui imite un son (paf, boum, crac...) et qui sert de bruitage dans les bandes dessinées.

LE PALINDROME : bande dessinée qui peut se lire dans les deux sens, c’est à dire de la première à la dernière page ou de la dernière à la première page.

LA PLANCHE : c’est une page composée de plusieurs bandes de vignettes successives.

LA VIGNETTE : c’est l’image de la bande dessinée délimitée par un cadre. Elle est également appelée case.

Sources 
  1. CEULEMANS, Karin et MAGITO, Jan. Draw and Shoot, oeuvres et photos d’auteurs BD. Jakari Productions, 2007, page 83.

(2) MALIK –TAI WILLIAM. Un Amour de province ... le Brabant wallon. Bruxelles : Emmanuel Hendrickx, 2005, p.25

AUQUIER, Jean. Les bulles, spécialité maison. Geo Voyage : La Belgique. 2010, n°34, p.50

FIÉRAIN, Jacques. La BD à Bruxelles et en Brabant. Charleroi : L’Âge d’Or, 2003, 144 p.

Centre Belge de la Bande Dessinée [en ligne].
Disponible sur : <http://www.cbbd.be/fr/accueil> (consulté le 11/01/2013)

Musée Hergé à Louvain-la-Neuve [en ligne].
Disponible sur : http://www.museeherge.com

Sandawe, l’éditeur BD c’est vous [en ligne].
Disponible sur : <http://www.sandawe.com/> (consulté le 11/01/2013)

Cédric Hervan [en ligne].
Disponible sur : <http://cedrichervan.canalblog.com/> (consulté le 11/01/2013)

Barly Baruti : bibliographie, photo, biographie [en ligne]. BD Paradisio.
Disponible sur : <http://www.bdparadisio.com/scripts/detail.cfm?Id=245> (consulté le 11/01/2013)

BDthèque : toute la BD que vous aimez [en ligne].
Disponible sur : <http://www.bdtheque.com/> (consulté le 11/01/2013)

De la BD au film d’animation [en ligne]. Lycée Rémi Belleau.
Disponible sur : <http://www.remibelleau.com/24hnet/2007/equipe05/bdtypes.html> (consulté le 28/12/2012)

Le roman graphique international [en ligne]. Goethe-Institut.
Disponible sur : <http://www.goethe.de/ins/ca/lp/prj/grn/grn/frindex.htm> (consulté le 28/12/2012)

Lexique de la bande dessinée [en ligne]. Services pour l’Éducation, les Savoirs et l’Appui à la Maîtrise et à l’usage du français.
Disponible sur : <http://www.sesam.cd/site/images/stories/fiches_methodologiques/fiche_methodo_6_lexique.pdf> (consulté le 28/12/2012)

Dictionnaire Larousse [en ligne].
Disponible sur : http://www.larousse.fr/ > (consulté le 28/12/2012)

Liens utiles

FIÉRAIN, Jacques. La B.D. en Hainaut : coloristes, critiques, dessinateurs, maquettistes. Ip éditions, 2001.

FIÉRAIN, Jacques. La BD dans la province de Hainaut. Charleroi : L’Âge d’Or, 2007, 96p.

A écouter

Nicole Barré – Piano Mélodies "Piste 24"